La gestion de l’ambroisie en tournesol est un critère de réussite important de cette culture très sensible à cette adventice. Pourtant il est possible d’approcher les 100% d’efficacité en mettant en œuvre une combinaison de leviers simples, comme les faux-semis (voir la vidéo en cliquant ici : lien à afficher https://extranet-isere.chambres-agriculture.fr/videos/detail-dune-video/fiche/ambroisie-1-le-faux-semis/). Plus d’infos ici.

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Contact :

Yann Janin | 06 69 13 03 83 

La chimie est souvent le premier levier qui vient à l’esprit lorsque l’on évoque la régulation des larves de grosses altises ou de méligèthes sur colza. Pourtant il existe bien des parasitoïdes naturels pouvant éliminer jusqu’à 60 % des individus si leur présence a été favorisée. Le point sur les bonnes pratiques  >>>

Contact : Yann Janin | 06 69 13 03 83 

Phase de sensibilité du colza : du stade boutons accolés (D1) au stade boutons séparés (E)
Sur des colzas vigoureux et bien développés il est préférable d’attendre le stade boutons séparés (juste avant la floraison) pour évaluer la situation. Intervenir si plus de 6 à 9 méligèthes par plante sont dénombrés.
Sur colzas peu développés, stressés, surveiller régulièrement la parcelle. Le seuil de risque est de 1 méligèthe par plante au stade boutons accolés et 2 à 3 méligèthes par plante au stade boutons séparés.

Fin du risque : Le risque prend fin à l’ouverture des premières fleurs sur la parcelle, sur lesquelles les méligèthes vont se nourrir préférentiellement.

Contact :
Ophélie Boulanger | 06 74 94 75 93

Ne pas oublier le soufre sur céréales !

Les pluies excédentaires de l’automne/hiver ont exposé de nombreuses parcelles au lessivage du soufre, faisant craindre des carences au printemps.

Quelles sont les parcelles à risque ?
• Celles qui ne reçoivent pas (ou peu) de produits organiques (fumiers, composts),
• Sols superficiels, filtrants, faible taux de matière organique.
Dans ces situations prévoir un apport d’une cinquantaine d’unités de soufre environ en fin de tallage / début montaison. Les différentes formes de soufre (sulfate, thiosulfate, soufre micronisé) ont une efficacité équivalente.

En cas d’apports réguliers

de fumiers ou de composts (au moins tous les 3 ans), les besoins en soufre sont satisfaits, sauf sur les sols les plus filtrants.

Pour plus d’informations cliquer ici >>>

Contact :
Ophélie Boulanger | 06 74 94 75 93

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